"L'homme qui marche" è davvero un film unico, coinvolgente e a tratti doloroso.
e unico film di Aurélia Georges.
provateci, vale davvero - Ismaele
PS: la persona raccontata è esistita davvero (qui)
Guardare un’opera prima ti mette addosso una curiosità particolare. Speri
sempre di scoprire un autore finalmente originale che abbia delle ottime storie
da raccontare. Spesso rimani deluso dalla presunzione di registi che, solo
perché riescono a far fare dei giri particolari alla macchina da presa
rimanendo in equilibrio su una sola gamba, credono di far parte tra i grandi
del cinema.
Per fortuna non è stato il caso di questo piccolo gioiello cinematografico
della giovane regista francese Aurélia Georges “L’uomo che cammina” (L’homme
qui marche). Da subito capisci che la pellicola ha una sua originalità, una
messa in scena minimalista che non tende all’accumulo ma mostra solo il
necessario con atmosfere che fanno ricordare i soggetti di Kaurismaki; dei
personaggi che ti mettono addosso un’istintiva curiosità nel voler comprendere
da dove provengano, come il protagonista di questo film che sembra uscire
direttamente da una delle opere migliori di Giacometti (L'uomo che cammina appunto)…
…L'Homme
qui marche souligne
en tous cas bien cette lente érosion de la "sociabilité" au profit de
l'indifférence. Chaque personnage, essentiellement féminin, croisé par Viktor
Atemian contribue à
révéler une partie de son mystère, mais sans jamais le dévoiler tout à fait.
Cet Homme
qui marche continue
assurément sa route dans notre souvenir.
…L’homme qui marche (titre qui rappelle
forcément celui du film de Georges Perec et Bernard Queysanne, Un homme qui dort, tourné en
1974, l’année où commence L’homme
qui marche) est l’histoire d’une longue et lente marche, dans un monde dur,
d’un homme fragile vers sa chute, une chute annoncée, écrite, subie,
inévitable, racontée sans heurts, sans coups d’éclat, sans effets de manche,
sans dramatisation excessive, par petites touches émotionnelles et descriptives
qui finissent par faire monter l’émotion sans aucune putasserie d’usage. C’est
aussi une histoire sur les renoncements : à la réussite, à l’argent, à la vie
bourgeoise, à la joie et pour finir à la
vie. L’homme
qui marche (titre
qui rappelle forcément aussi celui des fameuses sculptures de Giacometti),
c’est l’humanité ramenée à l’essentiel : un mouvement absurde et émouvant.
Le personnage principal de ce premier film triste et
beau, nous le connaissons. Pas l'écrivain Vladimir Slepian, de la vie duquel
l'intrigue est vaguement inspirée, mais ce genre d'hommes pudiques et sans
concession pour leur art, que l'on voit souvent à Paris. Ils peuplent les couloirs des universités et les
salles des restaurants universitaires, surtout à Bullier le week-end, des
hommes seuls, qui remplissent leur isolation sociale par la connaissance accrue
sur un domaine scientifique ou culturel ou par des discours politiques
nébuleux. L'histoire de cet homme en marge de la société, elle
pourrait peut-être aussi un jour être la nôtre, ce qui nous inquiète autant
qu'il rend l'impact émotionnel infiniment plus personne…
…Enfin, César Sarachu est simplement magnifique dans le
rôle d'un homme trop discret. Il y sait traduire d'une façon tout à fait
bouleversante, l'obsession littéraire autant que le besoin de rester à distance
de son entourage et de se réinventer pour occulter les culs-de-sac de la vie!
notevole. non sono sicuro che sia riuscitissimo, ma finalmente un film fuori dalle solite quattro cosettine.
RispondiEliminain genere non riesco mai ad apprezzare i film recenti di area francese, questo qui è bello e strano (l'ho visto su Raitre quest'inverno, registrato per caso e poi tenuto da conto)
sì, non è il solito film, questo è sicuro, ed è difficile classificarlo, meno male.
RispondiEliminain rete ho trovato questo: http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1159