un film alla Agatha Christie, un meccanismo a orologeria nel quale i potenti e i prepotenti trovano pane per i loro denti.
Vijay, un piccolo imprenditore, cerca di proteggere la sua famiglia dalle minacce esterne.
la polizia usa metodi molto duri, e non è facile resistere.
alla fine ci saranno diverse e inattese sorprese.
buona (ottima e divertente) visione - Ismaele
…Dans Dryshyam, les apparences sont
trompeuses. La quête de la vérité n’est plus une affaire de coupables et de
victimes, mais une lutte effrenée entre le mensonge et la morale. Suspense
haletant, se prenant au sérieux avec un naturel bouleversant, soutenu par une
performance d’acteurs remarquables, dont un Ajay Devgn, extraordinairement
palpable dans ses différents registres et Tabu, souveraine, remarquée l’an
dernier dans le remarquable Haider (2014), illustre adaptation du Hamlet de Shakespeare. Ces deux
vedettes bollywoodiennes illuminent l’écran peur leur aplomb, leur grâce, leurs
moments de pure prouesse, conscients d’une caméra qui les capte à chaque
moindre geste.
C’est aussi un film sur
les affres malsains des nouvelles technologies, les cellulaires qui non
seulement envahissent nos vies, mais sont souvent l’objet de captations
intimes, de vies gâchées. La nouvelle dynamique sociale dominée par l’image
perpétuelle n’est plus l’apanage d’un groupe particulier, mais s’est étalé à
l’ensemble de la société.
C’est là le thème principal du
film, en plus d’être un regard sur le cinéma, sur sa puissance à la fois
rédemptrice et dans le même temps vulnérable. Les cinéastes indiens, conscient
des divers mouvements sociaux et politiques de leur pays en constante
transformation et occidentalisation, agissent souvent comme des philosophes
envers le peuple, amoureux fou du cinéma qu’ils voit comme une sorte
d’alternative thérapeutique à leurs problèmes quotidiens.
De tous les cinémas nationaux,
le bollywoodien ose se permettre de diffuser un cinéma à message, chose presque
totalement taboue dans les sociétés occidentales. Ici, dans Drishyam, le manichéisme n’est pas un
tort parce qu’abordé avec toutes ses nuances, ses subtilités et ses vélleités,
tout en s’assurant que l’individu, l’humain, demeure le principal objectif
filmé. Sur ce point, le fim de Kamat est brillamment abouti.
… Alla fine, però, il film tiene. Nel
modo in cui ci svela l'intelligenza di strada di un uomo quasi analfabeta
intento a proteggere la sua famiglia ad ogni costo, e come il perdono possa, a
volte, portare a una sorta di accettazione. E nel modo in cui offre la pungente
svolta al racconto.
…Certainly in this extended contest Vijay has his work
cut out for him. Among other things he has to somehow dispose of Sam’s
car, which Sam drove to his fateful clandestine meeting with Anju. And he
also has to try and find a way to convince the authorities that on the day of
Sam’s death, Oct 2nd, he and his family were all away in the city of Panjali,
attending the spiritual teachings of Swami Chinmayanand.
Moreover, Vijay’s efforts of evidential obfuscation will be considerably
hindered by the surveillance recordings that Meera can dig up and
consult. These surveillance records include purchase receipts, phone
records, security camera films, and witness reports.
Because this
extended struggle between Meera and Vijay is involved and is what makes this
film interesting, I will leave it to you to discover what transpires. I
will say, though, that the ending comes out a little different from what you
might expect.
Overall Drishyam is a well-made production that is worth
watching. The coda that comes at the very end doesn’t seem to resolve
anything, but that doesn’t deter me from recommending the film to you.
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