un film di quando in Turchia non era un regime erdoganiano-musulmano-carcerario, un gruppo di vicini e amici, con le amicizie e le disavventure di Alì, che perde la memoria, di un bambino che non vuole essere circonciso, un cane che riesce a tornare a casa, un anello che va e viene, amori nascosti e dichiarati.
insomma un film neorealista di un ottimo regista turco, che poi farà film più impegnati.
buona visione - Ismaele
Après l'exposé de quelques dictons plutôt intrigants sur
les catégories de femmes et d'hommes qui peuvent exister, entre insatisfaites
éternelles et contents d'eux-mêmes, le film démarre et brasse nombre de
personnages et de thématiques. Au bout de quelques minutes, on se dit que ce
film devait sûrement être une comédie, mais que notre culture fait qu'on ne
comprend pas grand-chose, ni des enjeux lié à l'amour d'un chien auquel on est
allergique, ni de la signification de cette bague mise au rebut, prétendue
volée, mais payée et donnée en gage d'amour à un autre. Elle doit avoir de la
valeur, mais laquelle, lesquelles ?
Et le spectateur patient n'aura de cesse de s'interroger
tout au long du film, sur les rapports familiaux improbables entre les uns, la
peur du service militaire de l'autre, ou les trous de mémoire de celui-ci… Le
spectateur impatient, lui, finira par trouver le temps long devant cette
agitation sans queue ni tête de plus de deux heures dix. Si on sourit parfois,
on se qu'on a soit pas du tout le même sens de l'humour, soit que chaque scène
tombe à plat, malgré tous les efforts d'une honorable troupe d'acteurs.
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