in realtà è una storia d'amore, non più corrisposto, di due ragazze, ai margini, di tutto e da sempre, cresciute in un orfanotrofio.
e arriva poi a una storia di esorcismo, tortura e morte.
freddo e coinvolgente insieme, un film che merita - Ismaele
…Malgré une intéressante
perspective sur les aspects sectaires du mouvement religieux (on appelle les
chefs "papa" et "maman"...) et la vie quotidienne
extrêmement simple, le film s'enlise irrémédiablement. Et ce long calvaire de
2h30 se regarde avec une incrédulité grandissante, le spectateur n'étant à
aucun moment réellement inquiet pour la pauvre amante éconduite. Là où un Haneke
nous aurait ulcéré, les plans contemplatifs, l'arrivée symbolique de la neige,
les tortures doublées de réflexions basiques et les dialogues proprement
affligeants finissent d'enfermer le film dans une caricature qui frise le
ridicule. Et ce, jusque dans les réactions des religieux lors d'une fin qui
mêle de manière hypocrite le mystique et le réalisme... Mungiu nous livre ainsi
une dénonciation d'un système qui n'en n'est pas vraiment une. À moins qu'elle ne soit simpliste à outrance.
…La dirección de Mungiu es impecable y la
fotografía simplemente abrumadora. Aunque no hay una variedad de paisajes, y
son más bien monótonos, los distintos enfoques le dan una dinámica y una
excelente composición, que simplemente a mí personalmente me abrumaron y
asombraron. Todo esto junto con el excelente guión de Mungiu, hacen de este
filme otro gran logro del rumano.
En síntesis, un excelente filme que en su
aparente simplicidad abarca una tema sensible y profundo, con la mano maestra
de este gran director que disecciona y realiza un escrutinio de cada plano, sin
necesidad de tener un acompañamiento musical para darle fuerza a cada
secuencia. Prometí decir al final el “conocido universal” que une a los dos
mundos, y es el mal.
Película imperdible, reflexiva y potente.
… Au delà des collines est un film d’une beauté à couper le
souffle. Dans des compositions qui rappellent les toiles baroques de Vermeer
plus que toute autre influence cinématographique, Cristian
Mungiu use de la
longueur de ses plans, repoussant les limites de l’acceptable parfois, de la
sophistication de ses mouvements dans des plans séquences magistralement
exécutés ainsi que du niveau de ses acteurs qui sont jetés dans le cadre pour
mieux le construire. Une mise en scène aussi rigoureuse induit des performances
d’acteurs de très haut calibre, et c’est le cas tant il transpire d’Au delà des collines une impression de naturel qui atteint
son paroxysme dans plusieurs scènes d’hystérie totale. Le film pose de
sérieuses questions à propos de la frontière entre le bien et le mal et de sa
compréhension par les institutions (religieuses ou politiques) et les pose
surtout très bien, à travers le prisme de ce couple qui n’a pas le droit d’en
être un, dans ce portrait d’une passion amoureuse interdite qui vire à
l’autodestruction et au chaos. Lyrique malgré son absence de lyrisme formel
justement, âpre, très aride et peu ragoutant au premier abord, le nouveau film
de Cristian Mungiu est pourtant une œuvre fascinante qui
n’aurait pas volé un nouveau passage sur la table de montage pour s’inscrire
dans une durée un peu plus raisonnable. Reste que la
performance est franchement impressionnante quand il s’agit de capter une forme
de réel sans jamais oublier qu’il s’agit de cinéma. Puissant.
…Mungiu no pretende hacer una crítica fácil a los peligros de la
religión. En contraste con el atemporal, austero y, a su modo, acogedor mundo
del convento, lo que ocurre fuera de sus muros se presenta como un lugar
igualmente inhabitable, caótico, donde los médicos y las familias de acogida no
son precisamente un remedio al silencio de Dios. Si la religión puede crear
verdaderos monstruos, la realidad cotidiana, en la que los hijos matan a sus
madres para colgar el vídeo en internet, crea a su vez un caldo de cultivo
idóneo para abrazar por desesperación la más monstruosa de las creencias.
‘Más
allá de las colinas‘ es en realidad una inconfesa
película de terror, al igual que lo era ‘Los Santos Inocentes’, donde el
horror no surge de una presencia paranormal sino del más duro e insoportable
reino terrenal, un espacio que, rodado por la rigurosa cámara de Mungiu,
adquiere siempre un matiz especialmente incómodo y perturbador. Viendo el
impactante plano-secuencia que cierra el filme a uno no le quedan dudas: exista
o no, Dios ahoga pero bien. Por suerte, nuestra fe en el talento de Cristian
Mungiu permanece
intacta.
Allora Ismaele, lo hai apprezzato quanto 4 mesi...?
RispondiEliminasono molto diversi, quello un fulmine di realtà a Cannes, (apparentemente) semplice, questo più complesso, più "studiato", entrambi colpiscono forte, non da prima serata
RispondiEliminaSon contento che come tema principale abbiamo visto lo stesso, non era affatto scontato.
RispondiEliminaOh, per una volta hai spoilerato più te in 4 righe che io in 50 :)
Credo di preferire 4 mesi però.
forse mi sono fatto prendere la mano, le righe erano cinque, ecco perché mi hai colto in fallo :)
Eliminaper la preferenza ti ripropongo una risposta che sta sopra il tuo messaggio, e credo vada bene anche per te, no?:
sono molto diversi, quello un fulmine di realtà a Cannes, (apparentemente) semplice, questo più complesso, più "studiato", entrambi colpiscono forte, non da prima serata
Ah ah, è vero.
EliminaPerò è buffo che su due commenti entrambi ti facciano la stessa domanda, anche se uno in modo esplicito e l'altro no.
Ma insomma, quale preferisci? :)
P.s: (lo spoiler però è alla quarta)
Ci dovrebbe essere anche un film tra 4 mesi e Oltre le colline, strano che non sia stato per niente preso in considerazione dalla ditribuzione.
EliminaNo, non conoscevo Nemescu ma vedo che ne parli in termini entusiastici.
Morto a 27 anni, incredibile.
Appuntato.
Ecco a che servono le etichette, ormai non farò mai in tempo a recuperare...