da ritrovare - Ismaele
QUI il film completo in inglese
QUI il film completo in spagnolo
…Il concetto
di relatività del reale è ormai diventato un genere ma a Natali non importa e
lo rende il suo genere, capace di reinventarlo alla
luce delle suggestioni personali: ingrigisce immagini per significare la
routine del mero impiegato con valigetta, fino a renderlo artista dello
spionaggio e tuffarsi nell’interazione con splendide figure secondarie (la
sequenza della Cripta è da antologia). Di più non si può dire per non guastare
il piacere della visione. Lucy Liu curvosa femme fatale, Jeremy Northam
–una maschera umana di carne e sangue- è ai massimi storici e regala una di
quelle interpretazioni che si ricordano nel tempo. Così come questo film:
Natali è splendidamente malato –questo già lo sapevamo- ed orgogliosamente
stende su celluloide le sue ossessioni, delineando ormai uno stile
personalissimo e riconoscibile. Destinato ad essere recuperato in sede di culto.
Déjà obsédé, dans son
premier film ("Cube"), par les rapports des grandes compagnies à
leurs employés, devenus cobayes humains, Vincenzo Natali récidive avec une construction
à tiroirs, non dans le principe de décors cette fois-ci, mais dans le récit
lui-même. Et le spectateur en aura pour son argent. Manipulateurs manipulés,
retournements de situations seront les maître-mots de cette aventure d'un homme
ordinaire plongé dans un monde qui le dépasse.
Dès le début du film, la vision de l'entrepise, asspetisée, isolée, nous fait penser aux plus grands films d'anticipation (" Bienvenue à Gattaca ", " Brazil "…), où l'homme n'a qu'une infime marge de manœuvre dans un monde formaté. L'humanité trouvera-t-elle sa place dans cet univers bien trop huilé ?
Vincenzo Natali est en tout cas un optimiste avéré, qui asu apporté dans " Cypher ", la chair qui manquait à ses personnages de " Cube ", pour la plupart trop caricaturaux. Son deuxième film est une réussite de bout en bout, un voyage esthétique et palpitant dans un univers peut-être pas si futuriste.
Dès le début du film, la vision de l'entrepise, asspetisée, isolée, nous fait penser aux plus grands films d'anticipation (" Bienvenue à Gattaca ", " Brazil "…), où l'homme n'a qu'une infime marge de manœuvre dans un monde formaté. L'humanité trouvera-t-elle sa place dans cet univers bien trop huilé ?
Vincenzo Natali est en tout cas un optimiste avéré, qui asu apporté dans " Cypher ", la chair qui manquait à ses personnages de " Cube ", pour la plupart trop caricaturaux. Son deuxième film est une réussite de bout en bout, un voyage esthétique et palpitant dans un univers peut-être pas si futuriste.
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