vediamo gli attori recitare e trent'anni dopo gli stessi attori , ormai grandi, raccontarsi e raccontarci.
un film perfetto per chi fa teatro, ma anche per chi non lo fa, per chi è giovane e per chi non lo è più.
se fai parte di uno di questi gruppi è fatta, il film non ti deluderà, promesso - Ismaele
QUI il film completo,
con sottotitoli in inglese
Sans nul doute, ce film est un choc, et ce pour
plusieurs raisons.
D’abord par le choix de narration et de mise en scène qui a été effectué. Toute une partie du film est classique, les personnages évoluent à l’écran, le cadre spacio-temporel est clair… mais pourtant, ensuite, des images des mêmes personnages 30 ans plus tard sont montrées, avec des personnages qui racontent et commentent leurs propres actions, donnant un aspect documentaire au film. Cet aspect est d’ailleurs renforcé ensuite par des « images d’archives ». Jamais dans le film, le spectateur n’arrive donc à réellement se faire une idée claire pour savoir s’il assiste à une fiction ou un documentaire… au final c’est un sentiment à la fois gênant et plutôt excitant que nous offre cette narration.
Mais le choc viendra surtout de l’histoire qui nous est proposée. Dans le film, le réalisateur réussit à opérer sur le spectateur une gradation des sentiments très impressionnante. Il suscite tout d’abord la curiosité, l’envie d’en savoir plus sur cette bande d’idéalistes, puis une profonde excitation et des grands éclats de rires lorsque l’on découvre les différents « happenings » tous plus fous les uns que les autres auxquels se sont livrés ces illuminés. Et pourtant, à la fin, c’est presque avec les larmes aux yeux que l’on ressort du film.
Au final, ce sont surtout les concepts et les enjeux sous-jacents à cette histoire qui m’ont marqué. La forme éveille l’intérêt du cinéphile, l’histoire amuse et attriste l’homme, mais au final c’est surtout la fibre artistique et citoyenne de chacun d’entre nous qui est touchée par ce magnifique plaidoyer pour la liberté de l’artiste et du spectateur, pour un art spontané et participatif, gratuit et sans limites.
Noviembre est donc à mon sens un très grand film que j’ai pris énormément de plaisir à voir, même si l’honnêteté me poussera à préciser que les avis étaient parfois tout aussi tranchés contre lui dans la salle.
D’abord par le choix de narration et de mise en scène qui a été effectué. Toute une partie du film est classique, les personnages évoluent à l’écran, le cadre spacio-temporel est clair… mais pourtant, ensuite, des images des mêmes personnages 30 ans plus tard sont montrées, avec des personnages qui racontent et commentent leurs propres actions, donnant un aspect documentaire au film. Cet aspect est d’ailleurs renforcé ensuite par des « images d’archives ». Jamais dans le film, le spectateur n’arrive donc à réellement se faire une idée claire pour savoir s’il assiste à une fiction ou un documentaire… au final c’est un sentiment à la fois gênant et plutôt excitant que nous offre cette narration.
Mais le choc viendra surtout de l’histoire qui nous est proposée. Dans le film, le réalisateur réussit à opérer sur le spectateur une gradation des sentiments très impressionnante. Il suscite tout d’abord la curiosité, l’envie d’en savoir plus sur cette bande d’idéalistes, puis une profonde excitation et des grands éclats de rires lorsque l’on découvre les différents « happenings » tous plus fous les uns que les autres auxquels se sont livrés ces illuminés. Et pourtant, à la fin, c’est presque avec les larmes aux yeux que l’on ressort du film.
Au final, ce sont surtout les concepts et les enjeux sous-jacents à cette histoire qui m’ont marqué. La forme éveille l’intérêt du cinéphile, l’histoire amuse et attriste l’homme, mais au final c’est surtout la fibre artistique et citoyenne de chacun d’entre nous qui est touchée par ce magnifique plaidoyer pour la liberté de l’artiste et du spectateur, pour un art spontané et participatif, gratuit et sans limites.
Noviembre est donc à mon sens un très grand film que j’ai pris énormément de plaisir à voir, même si l’honnêteté me poussera à préciser que les avis étaient parfois tout aussi tranchés contre lui dans la salle.
Mañas formats his film like a documentary, where older actors
comment upon the movement's past (some years into the future!), with flashbacks
to the present filling in the drama. Mañas has created such vivid
political theater within his film, those unfamiliar with the Spanish art
movement may believe they're learning about an actual group. He has also
captured an extremely charismatic performance from star Jaenada, whose
theatrical persona seems made up of Brandon Lee's Crow and Cabaret's Joel Grey
with dashes of Mick Jagger and Tim Curry thrown in for good measure.
Rubio gives good support as Alfredo's romantic interest and coworker. Diaz
provides a nice dose of friction as the friend who takes Alfredo's ideas to a
point of no return. Music is integral and Tom Waits tunes add nice
texture. "November" won a Youth Award and would be a terrific
candidate for arthouse distribution outside of its own borders.
…It stamps writer-director Manas as one
of the few current Iberian film-makers capable of emerging from the Almodovar
shadow. With a drum-tight (and extremely clever) script, deceptively
freewheeling tone and ferociously committed performances especially from
Jaenada as Novembers mercurial, messianic leader its impossible to say whether
Manas is celebrating the gangs counter-cultural idealism, quite royally taking
the piss or doing both at the same time. The results are hilarious,
thought-provoking and, at the abrupt climax, surprisingly moving. A word in
British distributors shell-like: buy this movie – it demands to be seen.
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