quattro ritratti, con i personaggi collegati, quasi documentaristici, in un gran bel film, in un Cile oltre la dittatura.
peccato che film così non arrivano in sala, da noi.
Andrés Wood è davvero bravo e i suoi film sono da vedere, non deludono mai - Ismaele
…si le cinéaste
s’appuie sur un casting impeccable et totalement homogène où il serait bien
difficile de dire quel acteur se distingue, il filme parfois un peu platement
leurs émotions. Au lieu de nous emporter dans un flot de passion et de
sentiments contradictoires, Andrès Wood préfère la simplicité de la vie
elle-même. Cette impression de véracité est pourtant contredite par un dernier
quart d’heure où les problèmes des personnages semblent se résoudre comme par
magie afin de les amener à reprendre goût à la vie. Alors que le constat sombre
laisse place à une sérénité tout artificielle, le spectateur ne peut que rester
sur sa faim. Brillamment interprété, La
buena vida succombe trop à la
mode du film d’auteur choral avec ses passages obligés pour s’affranchir des
clichés du genre. Cela n’a pas empêché cette œuvre sympathique, mais
dispensable, de rencontrer un joli succès dans les festivals du monde entier et
de glaner quelques récompenses. On regrette d’autant plus que le métrage
n’approfondisse pas davantage sa thématique sociale.
…en “La Buena Vida” no hay un elemento dramático central en la
que colisionan o se juntan estas historias. El planteamiento que realiza el
guión es más realista y su intención es mostrar las vidas de personajes como si
fueran personas auténticas, no adornando en exceso los hechos reales en los que
se basa. Esto es a la vez su gran virtud y mayor defecto. Por un lado, la
veracidad de las diferentes narraciones y naturalidad de los personajes hacen
que este drama realista permita sumergirse en pedazos de vidas ajenas, de forma
verídica y honesta. Pero por otro, esta visión ha hecho que no sólo la carga
dramática de cada una de las historias quede disminuida sino también que se
mantenga un alejamiento y una frialdad con los personajes, que dificulta la
creación de empatía del espectador hacia ellos. También juega en su contra la
falta de exploración que sufren los personajes secundarios. Bien actuada y
dirigida, esta película sin principio ni conclusión ya que, como uno de los
personajes dice: la vida es así, peca de usar en demasía su conseguido realismo
y veracidad, quedando el resultado final algo frio y apagado.
…On est forcément touché
par l'ensemble de ces destins, même s'il est vrai qu'on aurait souhaité
connaître un peu mieux chacun de ces personnages, surtout les secondaires. Au
fil du récit, chacun est forcé de faire des concessions avec son idéal, de se
rapprocher des autres pour mieux survivre aux aléas de la vie, aux rêves qui se
brisent. Mais d'autres rêves se font jour, même dans les pires situations. Et
c'est là le plus important: continuer à espérer, malgré une situation sociale
des plus tendues et sans parfois réelle perspective.
Io, di Wood, ho visto Machuca e la Fiebre del loco e mi sono piaciuti tantissimo.
RispondiEliminaAnche questo sembra molto interessante. Grazie per la segnalazione!
un gran libro di Ciro Alegria (Peru) è intitolato "El mundo es ancho y ajeno".
RispondiEliminami viene da pensare così, che il mondo è grande e straniero, sconosciuto, se pensiamo al cinema.
c'è tanta gente davvero in gamba dappertutto, bisogna essere curiosi.
di Wood, finora, non mi ha deluso niente.quelli che mi sono piaciuti un poco meno sono solo molto belli:)