la storia è semplice, una figlia non pensa a sposarsi, per fare compagnia alla madre vedova.
gli amici del padre, un terzetto da Billy Wilder, tramano per far sposare la madre con uno di loro, vedovo anche lui, ma le cose non vanno per il verso giusto, ma poi tutto si sistema.
come una slapstick comedy, a tratti, al ritmo di Ozu.
pochi movimenti della cinepresa, ma Ozu è sempre un bel vedere.
ha il segreto della semplicità, del ritmo, lento, della profondità delle cose semplici.
cercatelo, non ve ne pentirete - Ismaele
…dans Akibiyori / Fin d’automne, c’est une veuve
nullement encline à se remarier qui laisse elle aussi planer le doute un moment
pour que sa fille se décide à franchir le pas décisif.
Cette intrigue principale, qui doit occuper tout au plus un tiers du film, est traitée avec une simplicité, une franchise récusant toute sensiblerie et prenant soin de ne jamais brouiller la perception. L’émotion qu’elle parvient à susciter est donc d’autant plus forte qu’elle reste très contrôlée. Elle doit beaucoup aux deux magnifiques actrices que sont Yoko Tsukasa, touchante de droiture fragile, et la radieuse, l’immense Setsuko Hara, qui du rôle de la fille dans Printemps tardif passe ici à celui de la mère.
Cette intrigue principale, qui doit occuper tout au plus un tiers du film, est traitée avec une simplicité, une franchise récusant toute sensiblerie et prenant soin de ne jamais brouiller la perception. L’émotion qu’elle parvient à susciter est donc d’autant plus forte qu’elle reste très contrôlée. Elle doit beaucoup aux deux magnifiques actrices que sont Yoko Tsukasa, touchante de droiture fragile, et la radieuse, l’immense Setsuko Hara, qui du rôle de la fille dans Printemps tardif passe ici à celui de la mère.
Mais dans le cinéma d’Ozu la
distinction entre rôle principal et secondaire est peu pertinente et bien
d’autres personnages existent à part entière dans cet univers où les rituels
sociaux occupent une si grande place (la cérémonie commémorative du début, le
mariage, mais aussi les visites de courtoisie ou les réunions arrosées dans les
bars) et où le spectateur lui-même se sent bientôt chez lui au milieu de
visages devenus immédiatement familiers…
…As
important as the actors are, Ozu’s distinctive use of interior spaces is every
bit as crucial. The lines, the lighting, the discreet placement of objects
around the perimeters and in the forefront of his frames… these technical
details seem like eccentricities to the novice, but become sources of a
peculiarly comforting form of inspiration as we allow ourselves to be drawn
into the environments Ozu presents on the screen...
…L'humour
est ainsi très souvent présent par l'intermédiaire du trio de quinquagénaires,
tous trois amoureux de la même femme (la mère) et qui cherchent d'une certaine
manière à assouvir leurs désirs que par personne interposée. Par sa forme, le
film est enchanteur avec les superbes plans fixes, très construits (1), caractéristiques du style d'Ozu et une belle
utilisation de la couleur. Au delà son apparente légèreté, Fin d'automne est un film vraiment admirable.
…The film is
essentially a simple story about three men who decides to play matchmaker for
the daughter of their late colleague who is reluctant to leave her mother. When
one of the men decides to pursue the mother since she is a widow and he’s been
a widower for years, it causes some tension between mother and daughter as the
latter has been reluctant to the idea of marriage despite the prospects she
has. It’s a film that just doesn’t explore the ideas of traditional customs but
also the sense of reluctance from young people to leave their parents and go
into the world of marriage as there’s also some cynicism towards the subject…
da qui
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