domenica 28 agosto 2022

Drishyam - Nishikant Kamat

un film alla Agatha Christie, un meccanismo a orologeria nel quale i potenti e i prepotenti trovano pane per i loro denti.

Vijay, un piccolo imprenditore, cerca di proteggere la sua famiglia dalle minacce esterne.

la polizia usa metodi molto duri, e non è facile resistere.

alla fine ci saranno diverse e inattese sorprese.

buona (ottima e divertente) visione - Ismaele




Dans Dryshyam, les apparences sont trompeuses. La quête de la vérité n’est plus une affaire de coupables et de victimes, mais une lutte effrenée entre le mensonge et la morale. Suspense haletant, se prenant au sérieux avec un naturel bouleversant, soutenu par une performance d’acteurs remarquables, dont un Ajay Devgn, extraordinairement palpable dans ses différents registres et Tabu, souveraine, remarquée l’an dernier dans le remarquable Haider (2014), illustre adaptation du Hamlet de Shakespeare. Ces deux vedettes bollywoodiennes illuminent l’écran peur leur aplomb, leur grâce, leurs moments de pure prouesse, conscients d’une caméra qui les capte à chaque moindre geste.

C’est aussi un film sur les affres malsains des nouvelles technologies, les cellulaires qui non seulement envahissent nos vies, mais sont souvent l’objet de captations intimes, de vies gâchées. La nouvelle dynamique sociale dominée par l’image perpétuelle n’est plus l’apanage d’un groupe particulier, mais s’est étalé à l’ensemble de la société.

C’est là le thème principal du film, en plus d’être un regard sur le cinéma, sur sa puissance à la fois rédemptrice et dans le même temps vulnérable. Les cinéastes indiens, conscient des divers mouvements sociaux et politiques de leur pays en constante transformation et occidentalisation, agissent souvent comme des philosophes envers le peuple, amoureux fou du cinéma qu’ils voit comme une sorte d’alternative thérapeutique à leurs problèmes quotidiens.

De tous les cinémas nationaux, le bollywoodien ose se permettre de diffuser un cinéma à message, chose presque totalement taboue dans les sociétés occidentales. Ici, dans Drishyam, le manichéisme n’est pas un tort parce qu’abordé avec toutes ses nuances, ses subtilités et ses vélleités, tout en s’assurant que l’individu, l’humain, demeure le principal objectif filmé. Sur ce point, le fim de Kamat est brillamment abouti.

da qui

 

Alla fine, però, il film tiene. Nel modo in cui ci svela l'intelligenza di strada di un uomo quasi analfabeta intento a proteggere la sua famiglia ad ogni costo, e come il perdono possa, a volte, portare a una sorta di accettazione. E nel modo in cui offre la pungente svolta al racconto.

da qui

 

Certainly in this extended contest Vijay has his work cut out for him.  Among other things he has to somehow dispose of Sam’s car, which Sam drove to his fateful clandestine meeting with Anju.  And he also has to try and find a way to convince the authorities that on the day of Sam’s death, Oct 2nd, he and his family were all away in the city of Panjali, attending the spiritual teachings of Swami Chinmayanand. 
Moreover, Vijay’s efforts of evidential obfuscation will be considerably hindered by the surveillance recordings that Meera can dig up and consult.  These surveillance records include purchase receipts, phone records, security camera films, and witness reports.

Because this extended struggle between Meera and Vijay is involved and is what makes this film interesting, I will leave it to you to discover what transpires.  I will say, though, that the ending comes out a little different from what you might expect.
Overall Drishyam is a well-made production that is worth watching.  The coda that comes at the very end doesn’t seem to resolve anything, but that doesn’t deter me from recommending the film to you.

da qui




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